Un changement difficilement prévisible

En tant que coachs Agiles, nous agissons comme des agents de changement sur le terrain. La plupart d’entre nous avons un background technique et n’avons pas nécessairement tout le bagage des spécialistes en gestion du changement. Alors comment la science de la gestion du changement peut-elle nous aider sur le terrain?

Après avoir fait un minimum de devoir (J’ai suivi quelques cours de base sur la gestion de changement et lu quelques trucs intéressants dont « fearless change » et le « modèle de Kotter« ) j’ai réussi à bonifier mon mode d’intervention avec l’aide des principes et pratiques de la gestion du changement.

En ce sens, je suis avec assez d’assiduité le blog de Jason Little sur le Lean Change Management.  Son dernier billet est très intéressant sur la nature imprévisible du changement et donc la nécessité d’appliquer des boucles de rétroaction dans un programme de transformation ce qui par définition rend très difficile de structurer un plan de gestion de changement « de bout en bout ».

So we have plenty of reasons for why we think change fails, but can static methods or standards solve that problem?

Most of the methods I listed are linear and plan-driven. I don’t believe that was the intent of these methods.  I believe they were intended to help people understand the dynamics of change but have been implemented in systems that think of changes as being equal to regular projects. That is, there are pre-implementing, implementation and post-implementation phases. You cannot predict what will happen when change is introduced and you cannot set a budget and a schedule for change. The world of knowledge work has been beaten into the belief that being reactionary is bad. It’s often called fire-fighting. I believe being reactionary means you’ve learned how to deal with external markets, and external factors you cannot control.

C’est pourquoi l’approche que je préconise pour conduire des transformations Agiles est d’établir un plan très « high level », qui permet de fixer certains objectifs assez micro à chacun des trimestres (ou autre cadence) pour ensuite chercher à inspecter et s’adapter à fond.  Où tout ça va nous conduire?  À  quoi ressemblera l’organisation dans 6 mois, 1 an, 3 ans ?  Bien malin celui qui pourrait prédire comment ces écosystèmes vont s’adapter et réagir à l’injection massive d’Agilité qu’on leur administre présentement…

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